Brooklyn Affairs d’Edward Norton

« New York dans les années 1950. Lionel Essrog, détective privé souffrant du syndrome de Gilles de la Tourette, enquête sur le meurtre de son mentor et unique ami, Frank Minna. Grâce aux rares indices en sa possession et à son esprit obsessionnel, il découvre des secrets qui pourraient avoir des conséquences sur la ville de New York… Des clubs de jazz de Harlem aux taudis de Brooklyn, jusqu’aux quartiers chics de Manhattan, Lionel devra affronter l’homme le plus redoutable de la ville pour sauver l’honneur de son ami disparu et celui de la femme qui assurera sans doute son salut…»

Un film qui met en lumière le syndrome de Gilles de la Tourette dans un drame haletant qui n’est pas sans rappeler l’esthétique de Ken Loach.

Made in Bangladesh de Rubaiyat Hossain

« Shimu, 23 ans, travaille dans une usine textile à Dacca, au Bangladesh. Face à des conditions de travail de plus en plus dures et malgré les menaces de la direction et le désaccord de son mari, elle décide avec ses collègues de monter un syndicat. Ensemble, elles iront jusqu’au bout. »

Ce film quasi documentaire rappelle la catastrophe du Rana Plaza.

It must be heaven de  Elia Suleiman

« ES fuit la Palestine à la recherche d’une nouvelle terre d’accueil, avant de réaliser que son pays d’origine le suit toujours comme une ombre. La promesse d’une vie nouvelle se transforme vite en comédie de l’absurde. Aussi loin qu’il voyage, de Paris à New York, quelque chose lui rappelle sa patrie… »

Récompensé par la mention spéciale du jury, un film prometteur où humour et réalité brutale se complètent.