Les sorties cinéma de la semaine !
On aime se nicher dans les sièges (hyper) confortables d’un cinéma. Au chaud l’hiver, au frais l’été, y’a pas à dire, c’est vraiment un sacré bon compromis, le cinéma. Et chaque semaine, on les attend, avec impatience, les sorties cinéma !

Border de Ali Abbasi
Entre délire et surnaturel ancestral scandinave, Border nous embarque dans un thriller (hyper) contemporain, « à la frontière entre humanité et animalité et nous confronte aux thèmes très actuels du communautarisme, du nationalisme, du racisme et de la peur de l’autre ». Un film qui, avouons le, attise notre curiosité…

Edmond de Alexis Michalik
Comme Edmond Rostand, le dramaturge, Cyrano de Bergerac, ça te parle ? Bon. Et bien Alexis Michalik (pour sa première fois au cinéma) transpose son spectacle en film et ça donne une comédie finement efficace. Au programme, le récit de la conception de la pièce légendaire Cyrano, des rires, des costumes d’époques et des situations amusantes (ou a se taper sur le ventre).
« Le joyeux chaos de la fabrication de la pièce « Cyrano de Bergerac« . » Cinéma Diagonal

Les invisibles de Louis-Julien Petit
Attention, comédie dramatique réussie !
Le centre d’accueil l’Envol va fermer, il reste trois mois à Manu et Audrey (les gérantes) pour réinsérer les femmes dont elles s’occupent.
« Les Invisibles se fait l’écho de notre cynisme suprême et administre une petite piqûre de rappel d’empathie à l’égard de ces femmes et de ces hommes qu’on a trop souvent tendance à pousser en périphérie de nos villes et de nos consciences. » Cinéma Diagonal

L’ange de Luis Ortega
Film coup de cœur.
Personne n’envisage la possibilité d’être libre ? – Si évidemment.
Carlitos et Ramon voient la liberté d’une manière très particulière. Amis au lycée, ils forment un sacré duo. « Ensemble ils partent faire les 400 coups jusqu’au jour où leurs mensonges, leurs vols et bientôt leurs meurtres soient la seule manière de s’exprimer. » Cinema Diagonal.
On sent une vague planer autour du film, quelque chose de spécial qu’on ne saurait décrire, alors on court le voir.