Hier soir c’était surprenant, touchant, fort, beau, enivrant parfois, poétique. C’est doux et brutal, comme une expérience bénéfique à n’importe quelle réflexion que ce soit.
Hier soir nous avons aussi réfléchit, et rit. On sort de là un peu chamboulé.

A la lecture du programme « Quand nous lisons, nous faisons des choix, nous traduisons ce que nous lisons vers le langage de notre propre existence. », c’est exactement ça et c’est ce que la pièce traduit à merveille. Une pièce que l’on peut transposer, confronter à nos expériences personnelles. The way she dies c’est l’histoire d’un livre qui change la vie ; Anna Karénine de Tolstoï. Un livre qui change la vie au point de sortir de soi même.
Alors hier soir, c’est une pièce de théâtre qui a changé, qui a régénérer nos perceptions de vie et je dois dire que ça fait du bien.

Tu veux éviter le resto et le bouquet de fleurs traditionnel de la St Valentin ? Cours prendre tes places pour « The way she dies » à voir encore ce soir et demain !

PS : je vous invite à lire le bouquin…
« Un roman comme Anna Karénine de Tolstoï peut aussi être la collection des vies qu’il a changées, légèrement ou profondément, en bien ou en mal. Des vies qui pourraient changer comme meurt Anna. » citation tiré du programme en salle.