À cordes sensibles, quand la kora épouse le violoncelle…
Les complices Sissoko & Segal, que le Festival de Thau a déjà accueilli séparément à Valmagne, reviennent ensemble faire vibrer les vôutes de l’abbatiale de leur dialogue instrumental fusionnel.
Un duo de cordes comme un or musical, fondu dans un singulier alliage de timbres, de touchers, de souffles et de phrasés.
On se laisse totalement emporter.