Au commencement, il pourrait y avoir la mer. Ou plutôt ceux qui la regardent.
Depuis un possible rivage se tiennent des inconnus au visage distraitement tendu vers l’horizon. Leurs pensées – devenues corps – sont tournées en direction d’un hors-champ insaisissable, sinon par l’entrelacs des mouvements qui le composent. Mais comment donner
à voir, comment danser l’invisible ?
Du solo au groupe, ou de l’individu à la communauté ce sont les écarts, les différences qui font lien vers le commun.