Un voyage qui interroge les tréfonds de l’âme humaine.
Lors de son troisième voyage, Gulliver se rend à Laputa, à Balnibarbi, à Glubbdubrib, à Luggnagg et au Japon. Et partout il observe la même inquiétude : et si le monde touchait à sa fin ? Cela se dit dans toutes les langues, mais celle de Swift, saturée d’humour noir et de vocabulaire bricolé, d’inventions philosophico-burlesques et de limpides énormités, est la seule à pouvoir la traduire. Elle est la voie d’entrée royale pour Madeleine Louarn, Jean-François Auguste et l’Atelier Catalyse pour arpenter la gamme mouvementée, flamboyante et fragile de nos craintes et de nos utopies.