L’ombre de l’illustre virtuose Ferdinand David plane sur le 2ème Concerto pour violon de Mendelssohn.
C’est lui qui en assura en 1845 à Leipzig la création triomphale sous la direction du compositeur danois Niels Gade et le propulsa au premier rang des grands concertos pour violon. À Montpellier, Dorota Anderszewska, violon solo de l’Orchestre, vous charmera de son archet expressif porté par le geste précis et alerte de Magnus Fryklund.
En 1877, Hans Richter créait à Vienne la Symphonie n° 2 de Brahms, celle que l’on compare pour sa fraîcheur à la « Pastorale » de Beethoven, mais qui ouvre aussi la porte sur la musique de Dvořák.
Quant à savoir si, comme disait Brahms, c’est « une petite symphonie gaie, tout à fait innocente » : c’est à vous d’en juger !
Mendelssohn/Brahms
Magnus Fryklund
Dorota Anderszewska
L’ombre de l’illustre virtuose Ferdinand David plane sur le 2ème Concerto pour violon de Mendelssohn.
C’est lui qui en assura en 1845 à Leipzig la création triomphale sous la direction du compositeur danois Niels Gade et le propulsa au premier rang des grands concertos pour violon. À Montpellier, Dorota Anderszewska, violon solo de l’Orchestre, vous charmera de son archet expressif porté par le geste précis et alerte de Magnus Fryklund.
En 1877, Hans Richter créait à Vienne la Symphonie n° 2 de Brahms, celle que l’on compare pour sa fraîcheur à la « Pastorale » de Beethoven, mais qui ouvre aussi la porte sur la musique de Dvořák.
Quant à savoir si, comme disait Brahms, c’est « une petite symphonie gaie, tout à fait innocente » : c’est à vous d’en juger !
Au programme :
Felix Mendelssohn (1809 – 1847)
Concerto pour violon n° 2 en mi mineur opus 64
Johannes Brahms (1833 – 1897)
Symphonie n° 2 en ré majeur opus 73