Une fresque dystopique qui donne un sombre aperçu du monde de demain.
Aux alentours de 2043, il fait chaud, l’eau monte un peu partout, la catastrophe est proche, des rats pixellisés croisent des livreurs intérimaires, les footballeurs sont armés, l’adjoint au maire démuni et les GPS hors d’usage. Dans cette joyeuse apocalypse, Alain Béhar nous guide et nous perd, tourne et bifurque, jongle et dérape, commente – en direct au cœur de la mêlée – un monde devenu à peine plus fou que le nôtre. Et si notre seule chance était que l’imagination, chauffée à blanc, poussée à bout, drôle à pleurer, prenne la menace de vitesse ?