Theo Angelópoulos nous livre ici une réflexion sur l’approche du moment funeste et comment prendre congé du monde
Alexandre, un écrivain célèbre, sait qu’il vit ses derniers jours. Avant d’entrer à l’hôpital, il revisite des lieux chers dont sa maison du bord de mer qu’il parcourt une dernière fois. Retrouvant une lettre de sa femme racontant un jour d’été lointain, il se remémore son passé et les regrets qu’il entretient à l’égard de tout ce qu’il n’a pas su faire pour elle. Une rencontre improbable avec un gamin des rues Albanais va donner une orientation particulière à cette quête de souvenirs.