Drôle de titre pour cette « fantaisie musicale » chantée et jouée, très librement inspirée de 1984, le chef-d’œuvre d’Orwell écrit quelques années après la seconde guerre mondiale.
Créé par un groupe de jeunes comédiens issus du Cours Florent, le spectacle se glisse dans le sillage de la funèbre dystopie orwellienne, imaginant un monde (le nôtre ?) où le malheur, la méchanceté et le désenchantement régissent les rapports humains. Qu’arrive-t-il à ce personnage qui se réveille heureux et souriant ? Comment fera-t-il pour s’échapper de la morosité ambiante, pour cacher ce secret inaudible pour son entourage ? Pour se fondre dans la masse, il rêvera d’être malheureux…