La fatigue, est généralement un non-sujet. Ludmilla Dabo, accueillie à Sète avec Portrait de Ludmilla en Nina Simone et Une Femme se déplace, en fait pourtant le thème central de son cabaret musical. Sous la forme d’un songe musical, d’un cabaret des fragilités, l’artiste se propose d’aborder la problématique de la fatigue et ses différentes manifestations, de traverser cet état de vulnérabilité pour célébrer l’épuisement dans la joie et la musique. Signant texte et mise en scène, Ludmilla Dabo s’entoure d’une équipe entièrement féminine, et convoque au plateau l’âme du cabaret, ayant à cœur d’offrir une dimension festive faite de sérieux, de sincérité, de folie et de dérision à la bizarrerie artistique que peut représenter un spectacle consacré à ce thème. Un « Fatigue Circus » dans lequel on joue, on chante, on danse. Un show, une fantaisie légère pour célébrer l’épuisement dans la joie et la musique et dont on sort frais et dispos.
La fatigue, est généralement un non-sujet. Ludmilla Dabo, accueillie à Sète avec Portrait de Ludmilla en Nina Simone et Une Femme se déplace, en fait pourtant le thème central de son cabaret musical. Sous la forme d’un songe musical, d’un cabaret des fragilités, l’artiste se propose d’aborder la problématique de la fatigue et ses différentes manifestations, de traverser cet état de vulnérabilité pour célébrer l’épuisement dans la joie et la musique. Signant texte et mise en scène, Ludmilla Dabo s’entoure d’une équipe entièrement féminine, et convoque au plateau l’âme du cabaret, ayant à cœur d’offrir une dimension festive faite de sérieux, de sincérité, de folie et de dérision à la bizarrerie artistique que peut représenter un spectacle consacré à ce thème.
Un « Fatigue Circus » dans lequel on joue, on chante, on danse. Un show, une fantaisie légère pour célébrer l’épuisement dans la joie et la musique et dont on sort frais et dispos.