Ghyslaine Gau, Annabel Guérédrat et Ana Pi invitent le public autour de la projection d’un film et d’une table ronde, où la théorie du care s’articule aux notions d’archives, de décolonialité et de visions futures.
Quels lieux, quels gestes peuvent amener la guérison de profondes blessures historiques ? Sous la forme d’une déambulation, l’exposition performée « WOMEN part 3 » entremêle films, installations plastiques et sonores. Elle bat en brèche le sentiment de solitude pour rendre visibles les trajectoires, où se croisent les radicalités théoriques des mouvements contemporains et les résistances ancestrales de la diaspora africaine.