« Chaque rendez-vous avec Saburo Teshigawara est une promesse d’éblouissement. Voice of Desert ne devrait pas déroger à cette règle implicite. » Philippe Noisette, journaliste et critique
Artiste singulier au Japon, Saburo Teshigawara a gardé de ses études en arts plastiques et en danse classique le goût du beau et de la rigueur. Surtout, au sein de sa compagnie Karas, créée en 1985, il n’a cessé de polir une grammaire gestuelle d’un raffinement inouï. Chaque rendez-vous avec Saburo Teshigawara est une promesse d’éblouissement. Voice of Desert ne devrait pas déroger à cette règle implicite. Quatuor porté par Rihoko Sato, sa plus fidèle collaboratrice, Kei Miyata, co-fondatrice de la compagnie, Javier Ara Sauco, nouveau venu dans l’aventure et de Teshigawara lui-même, cette voix est riche de ces questionnements sur l’humanité, de cette quête du mouvement intérieur, d’une possible liberté. La danse de Saburo Teshigawara est un savant travail sur l’espace que le chorégraphe fait sien. Signant également les lumières, essentielles à son approche, le Japonais invente de nouveaux mondes flottants. Que ce soit par ses collaborations avec l’Opéra de Paris ou le Ballet de Francfort, son approche de l’opéra contemporain ou de la musique classique, Saburo Teshigawara ne cesse d’envoûter. Voice of Desert est une traversée du désir. 👉 plus d’infos sur Saburo Teshigawara ici
