« Sorour Darabi aime plus que tout flouter les frontières de la performance. Cet artiste trans-disciplinaire a trouvé en Shérérazade « l’héroïne que beaucoup voudraient être, y compris une grande partie des personnes « fem » et « trans-féminines ». ». Philippe Noisette, journaliste et critique
« Mille et une nuits est fascinant par son origine transnationale, trans-époque, multi-source et anonyme, mais aussi par la fascination que le recueil suscite dans le « monde occidental » – et exotisant – depuis plusieurs siècles, jusqu’à aujourd’hui ». Sorour Darabi s’empare de ce chef-d’œuvre de la littérature pour en livrer un opéra des corps composé de plusieurs chapitres « au creux de l’oreille, les profondeurs des voix, sur l’étendue de la nuit », celle-là même que Shéhérazade repousse, « domptant l’ennui mortel de la répétition ». Il aime plus que tout flouter les frontières de la performance. Cet artiste trans-disciplinaire – souvent accueilli à Montpellier Danse – a trouvé en Shérérazade « l’héroïne que beaucoup voudraient être, y compris une grande partie des personnes « fem » et « trans-féminines ». Accompagné au plateau par des danseurs, chanteurs, acteurs et musiciens, Sorour Darabi fait de Mille et une nuits un singulier pluriel. 👉 plus d’infos sur l’artiste Sorour Darabi ici